Roxy Patterson
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Date d'inscription : 16/06/2007
 | Sujet: Roxy Patterson U.C.  Sam 16 Juin - 13:31 | |
| I. IDNom: PattersonPrénom (s): Roxy, EileenSurnom (s): Ne lui donnez jamais de surnoms. Jamais. Roxy les déteste et puis quel surnom lui irait bien franchement? Elle haie les surnom du style "ma puce"... et il existe très peu de diminutifs du prénom "Roxy". Peut-être "Rox"? Mais elle ne tient pas à être surnommée comme le renard d'un dessin animé!Date et Lieu de Naissance: Roxy Eileen Patterson naquit le 28 Décembre 1986 à Londres, Angleterre. Age: 21 ansII: PhysionomieDescription Physique: La beauté n'est que subjective, mais certaines personnes paraissent "beaux" aux yeux de tous. C'est le cas pour Roxy. Cette petite eut bien de la chance. Elle hérita de la beauté de sa mère et de la classe de son cher père. De quoi en faire des jaloux.
Dès petite, on lui rabâchait sans cesse qu'elle était vraiment "mignone" et pour cause, ses magnifiques yeux bleus, hérités de sa mère, lui donnait une impression de douceur sur son visage. Manie, Tic, ou autre signe particulier: Style de vêtements : II: Description PsychologiqueDescription Caractérielle:Qualités et Défauts:III: HistoireHistoire du Personnage: Casey Edwards, jeune, belle, styliste –donc par conséquent, arborant un look personnalisé & glam à la fois- et blonde, elle avait tout pour plaire. Habitant la majestueuse, mais superficielle car ne l’oublions pas, vous n’êtes rien sans le dernier sac à main Vuitton- ville de New-York. Possédant un tel nombre de qualités physiques, elle fesait partie de ces princesses de Park Avenue, pourrie-gâtée pour la plus grande majorité et fesant partie des personnalités de la ville. En tant que telle, elle était à la recherche perpétuelle du Mari Potentiel. Voici les quatre grandes caractéristiques que celui-ci devait posséder: premièrement, son compte en banque devait défier celui de Bill Gates –l’homme le plus riche au monde, dois-je préciser- ou du moins, posséder une fortune se comptant en millions d’euros. Deuxième point important, il devait être soit héritier d’un quelconque magasin ou être un self made man –c'est-à-dire qui partit de rien, a construit son empire. Il était hors de question de se fiancer à un certain acteur, chanteur, mannequin… qui serait absent toutes les semaines pour raisons professionnelles ou qui pourrait –contre son gré- rencontrer des stars du genre Gwyneth Paltrow, Sienna Miller ou toutes autres blondes craquantes. Troisièmement, son Mari Potentiel devait avoir des goûts de luxe et dépenser sans compter pour sa petite femme adorée. Elle ne voulait pas d’un Picsou, ayant un oursin dans son porte-feuille et passant sa vie à faire des comptes. Vous me direz sûrement que « faire ses comptes » est un acte responsable et adulte, mais si vous vous souvenez du premier point important, son Mari Potentiel doit être immensément riche, alors pourquoi faire des comptes lorsque l’on possède une telle fortune? Ce ne serait que du temps perdu. Temps pendant lequel, il aurait pu emmener sa chère et tendre épouse à Cartier et dévalisé cette bijouterie. Et dernier point, pas l’un des moins important, que cet homme ne soit ni mourant, ni octogénaire et qu’il possède, ne serais qu’une once de charme!
Mais au bout de cette recherche, elle ne se maria pas avec un self made man ou un héritier de « je ne sas quoi ». Elle devînt l’épouse d’un certain Morgan Patterson, fils d’un riche homme d’affaire anglais, mais qui, lui, ne fesait rien de ces journées. Son activité favorite était de vendre de la contrefaçon aux prix d’origine. Il ne se fesait jamais prendre, et aux pires, les avocats attitrés de papa était là. Il était riche, certes, mais comparé à l’idéal de Casey, il n’était qu’un misérable mendiant. Sa fortune s’estimait seulement à 15 millions de dollars, contrairement aux 50 millions qu’elle espérait. Cependant, il fallait avouer qu’il était loin d’être avare, et même, dès qu’il le pouvait, il couvrait de cadeaux sa jeune fiancée. Quand à son charme, on pouvait dire qu’il était gâté de ce côté-là. Il ne remplissait que deux points sur quatre, mais Casey en tomba rapidement amoureuse. Assez du moins pour aller s’installer avec lui en Angleterre, loin de sa ville natale. Là-bas, elle s’installa dans une luxueuse demeure dans les plus chères rues de cette ville. C’est à cet endroit qu’elle mit au monde sa première enfant, Roxy Eileen Patterson.
Au fil des années, Casey devînt folle amoureuse de sa ville adoptive et appliquait toutes les traditions anglaises à la lettre. Pas étonnant qu'elle décida de nommer sa seconde fille: Queen Elizabeth Patterson. Tous les jours, à quatre heures, elle prenait sa tasse de thé dans son immense jardin où Roxy adorait s’y amuser étant plus jeune. Tellement obsédée par les traditions anglaises, elle voulait que sa fille épouse un anglais. Le choix était déjà fait: James Andrew Norringhton. Un fils d’un certain William, possédant un titre de noblesse. Elle avait rencontré le père du petit James lors d’un gala où tout deux avait été invités. Il s’était tout de suite plu, et tout deux eurent la merveilleuse idée qu’un jour leurs enfants seraient réunis pour réunir deux fortunes colossales. Il ne se passait pas un jour sans que Casey parle de James à Roxy. Cependant, beaucoup trop petite pour comprendre l’intention de sa chère «maman », elle ne disait rien et voulait connaître ce garçon. Elle passa toute son enfance avec ce petit héritier tel que sa mère aurait voulu épouser –d’ailleurs, qui vous dit qu’elle ne voulait pas que sa fille épouse ce jeune garçon comme pour assouvir un désir, une envie, qu’elle n’a jamais concrétiser étant plus jeune? Donc, comme je le disais, Roxy devînt la meilleure amie de James qui avaient une relation assez ambigü. Vers cinq, six ans, ils jouaient ensemble, comme de petits enfants tout à fait innocents et délicieusement craquants. De vrais petits anges, des enfants comme tout le monde aurait aimé avoir. Ils n’y avaient rien de plus entre eu, ils étaient bien trop jeunes. Ils passèrent leur début de scolarité ensemble dans une des écoles privées les plus réputées. Ce fut Casey et William qui avait fait en sorte de les placés dans le même établissement. Histoire de les rapprochés encore plus. Il fallait dire qu’ils paraissaient encore si petits mais tellement proches. A l’école, ils travaillaient ensemble et bien. Les notes étaient excellentes et la récompense que leur donnaient leurs parents était à la hauteur du travail. Ils étaient la fierté de leurs pro-créateurs et de leurs instituteurs. Puis, à huit, neuf ans, ils commencèrent à perdre leur innocence d’enfant, et commencèrent peu à peu à devenir de véritables petits démons. Mais rien de bien grave. Du moment que leurs notes restaient exemplaires, personne n’allait se plaindre. On se contre-fichait pas mal qu’ils coupent les cheveux d’une fille qu’ils détestaient, ou qu’ils s’amusaient à trafiquer la copie de leurs petits camarades pour qu’eux ceux-ci aient une moins bonnes notes qu’eux. Pas étonnant qu’ils aient gardés leurs places de premiers tout au long de leur scolarité. Mais ceci dit, Roxy avait toujours de meilleures notes que son cher ami. Puis arriva l’âge de l’adolescence –période pourrie je tiens à préciser. Pendant cette période, on nous demande de prendre des décisions, mais à la moindre occasion, des adultes en prennent à notre place. Et comme si cela ne suffisait pas, on a la droit à la petite phrase assassine « Tu n’es pas du tout responsable, prend des décisions et grandie un peu ».Pfff-. Le temps des inscriptions dans les collèges était arrivé, et Casey voulait mettre sa fille dans un collège pour filles. Quand à William, il ne voulait pas non plus placer son enfant dans une école mixte. Etant assez vieux jeux, ils pensaient que le « sexe opposé » pourrait nuire à la suite des études de leurs adolescents. Il fallait dire que Londres avait bien changé Mrs. Patterson qui, à présent s’était assagie. Fini les fêtes jusqu’à pas d’heures et les soirées mondaines où elle finissait dans le lit d’hommes qu’elles ne connaissait pas. Elle s’était calmé et était à présent devenue plutôt « ennuyante ».
Donc, Roxy allait être affectée à l’établissement « Jonathan Owen: collège pour filles », tandis que James allait étudier à l’établissement « Jonathan Owen: collège pour garçons ». Lors de certaines rencontres sportives –par exemple- entre les deux établissements, les deux jeunes amis se voyaient, mais ceci était très rare. Cette situation ne leur plaisait guère, et pour eux, ils ne servaient à rien d’apprendre et de suivre les cours. C’était des gosses de riches après tout! Pourquoi se casser la tête? Papa et maman pourraient certainement leur payer de grandes études sans qu’ils n’eussent à faire le moindre effort. Mais, en plus de ne plus travailler, ils devinrent tout deux désinvoltes. Ensemble, ils firent les quatre cent coups au grand désespoir de leurs familles. Les petits anges parfaits et innocents étaient devenus adolescents. Ils firent les pires coups fourrés et risquèrent leurs vies plus d’une fois. Ils n’avaient pas consciences du danger, et leur stupide crise d’adolescence les avait rendu totalement irresponsables. Ils n’avaient pas consciences de leurs propres actes et des conséquences de leurs choix. Et pour ne rien arranger, ils étaient amoureux. Ils formaient un couple assez « trash » qui choquait leurs entourages de « coincés ». William et Casey regrettèrent de les avoir mis ensemble et à présent, leur plan était de les séparer. Comment firent-ils? La mère de Roxy lui fit rencontrer un autre jeune tout aussi charmant, et le père de James organisa une rencontre entre son fils et une jolie héritière. Même si Roxy ne fut pas attirée par son second prétendant, il n’en fut pas autant pour James. Il préféra la seconde proposition de son père plutôt que Roxy et la quitta sous le champ. Cette rupture avec le premier amour de sa vie marqua la fin de sa crise d’adolescence. Elle se calme, grandie et travailla. Mais au fil des années, une idée germait dans sa tête. Bien que sa mère ait voulu que sa fille soit médecin, avocate ou tout autre métier tout aussi « barbant » aux yeux de l’intéressée, celle-ci voulait devenir mannequin. Sa mère, qui autrefois était styliste mais qui avait mis sa carrière de côté, était littéralement contre cette idée. Son métier l’avait mené dans les coulisses des défilés et elle voyait bien les méfaits de la « dictature de la maigreur ». Elle avait vu, durant sa carrière, plusieurs jeunes filles tombées dans l’anorexie et même si cela n’était que pour un tiers des filles qu’elle ait croisé, elle ne voulait pas que sa fille prenne ce risque. Mais, bornée et têtue, Roxy fit en sorte de se faire remarquer par un agent qui débuta sa carrière. Elle devînt de plus en plus célèbre, et très vite, elle devînt une star à Londres. Une fois l’Angleterre dans sa poche, il était temps s’attaquer à la Big Apple. Elle prit le premier vol pour New-York pour s’y faire connaître. Après tout, sa mère était populaire là-bas étant plus jeune, pourquoi pas elle? La beauté et la classe doivent être dans les gênes, non?
Ce fut là-bas qu’elle rencontra le second amour de sa vie prénommé Zach Wilford. Mais malheureusement, leur couple ne dura pas. Elle ne trouva jamais la raison d’ailleurs, persuadée qu’il est l’homme de sa vie. Elle espère toujours le reconquérir d’ailleurs. Ce fut aussi à New York qu’elle devînt la muse de Perly Simon pour les pages beauté et la meilleure amie de Clara Adams. Tout semble bien se passé pour l’instant et elle espère que tout continuera ainsi. Peut-être avec Zach comme petit ami? Ce serait le summum. Et sa carrière semble aller mieux de jour en jour, et sa beauté en impressionne pas mal, comme Tom Klein par contre.
Parcours Professionnel: L'idée de devenir mannequin lui trottait dans la tête depuis bien longtemps, mais ce ne fut qu'à ses seize ans qu'elled écida de franchir le pas avec beaucoup de culot et de persévérance. Au départ, elle n'était pas prédestinée à faire ce métier pour diverses raisons mais surtout parce que sa mère, une styliste assez reconnue, n'hésitait pas à lui mettre des bâtons dans les roues. Cependant, son envie de marcher un jour sur les podiums et de porter de belles tenues de grands créateurs fut plus forte que l'interdiction de sa mère.
Comment fit-elle? C'est simple. Sa mère, bien qu'elle avait mis sa carrière entre parenthèse, recevait de temps à autre des invitations pour des défilés où, à coup sur, elle croiserait tous les nouveaux créateurs tendances du moment. Mais, elle ne profitait de ces invitations que très rarement. Un jour, le téléphone sonna. Ce fut Roxy qui alla décrocher et , en entendant la voix de bourge de l'ex patronne de sa mère, elle sut de suite qu'elle allait recevoir une autre invitation: Un défilé était organisé suivi d'une soirée dans un club branché de Londres. La jeune Patterson devait faire passer le message à sa mère, mais elle eut une diée fabuleuse. Elle décida de ne rien dire et d'aller au défilé, seule, à la place de sa mère. Elle se vieillit un peu et le tour était joué. Elle rentra sans problèmes dans la boîte. Dès lors, elle se transforma en un vrai radar à " personnes populaires ". Dès qu'elle voyait un grand nom de la mode, elle fesait en sorte de se faire remarquer par lui: en fesant tomber son verre, en le bousculant, en lui posant une question dont elle connaissait déjà la réponse... cependant, bien qu'elle échangeait quelques mots avec ses "victimes", aucun ne s'interessait professinnellement à elle. Désespérée, elle s'était alors accoudée au bar et ce fut à ce moment qu'elle se fit remarquer par un jeune créateur tendance, à vrai dire peu connu, que l'on surnommait Tommy. Intéressé par son visage, il n'hésita pas à l'aborder, certain qu'elle ferait un véritable tabac sur les podiums. Il lui proposa de rencontrer d'autres créateurs, plus connus, et qui seront la faire connaître.
Sa carrière était lancée. Bien entendu, restait à convaincre sa mère, mais face à l'entêtement de sa fille, que voulez-vous qu'elle reponde? Elle dut accepter que le bonheur de sa fille se trouvait dans le milieu de la mode.
Mais, comme vous aurez pu l'imaginer, sa carrière démarra doucement, très doucement. Elle posait pour quelques photos qui ne seront jamais publiés et défilait sur des podiums sous les yeux d'amateur de mode. Elle pensait que son rêve n'allait jamais se réaliser, mais elle se trompait. Sans qu'elle le sache,s a notoriété grimpait et elle était d eplus en plus demandée. Elle était invitée dans des galas, dans des défilés, mais à chaque fois, d'autres filles jugées "plus intéressantes" lui volaient ses chances de se faire remarquer. Mais plus le temps passait, plus elle était présentée à de grands noms de la mode. Mais ce fut à ses vingt ans que sa carrière décolla lors d'un grand défilé. Sur le podium, sa classe, son élégance, sa beauté avait ébloui plus d'une personne. Dès lors, tous les créateurs se l'arrachèrent pour qu'elle porte leurs tenues. Très vite, elle devînt une grande mannequin connue dans la capitale. Tout Londres connaissait son visage. Et son agent eut l'idée de la faire connaître dans d'autres pays. Voici la raison qui l'a poussé à venir ici, à New-York.IV: GoutsGouts Du Personnage: V: Autres:Avatar: Jessica Stam  Ou avez-vous connu le forum? Je l'ai connu grâce sur le fofo: CARRIBEAN PARADISE  Votre niveau RP sur une échelle de 1 à 10? Présence Sur Le Forum:
Dernière édition par le Jeu 28 Juin - 22:48, édité 13 fois | |
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